J’étais l’invité de l’émission « La Faute à l’Europe » diffusée sur LCP et France info pour discuter des digues idéologiques qui ont cédé à l’occasion de la crise du coronavirus. Même si certaines choses ont bougé, nous sommes encore loin du compte.
Les consommateurs européens souhaitent légitimement de plus en plus de transparence sur les produits alimentaires qu’ils consomment. L’indication d’origine est obligatoire pour les aliments bruts, mais cela n’est pas le cas pour les ingrédients des produits transformés. Or les européens se souviennent des nombreux scandales comme celui de la viande de cheval dans les lasagnes ou autres plats préparés, à base initialement de boeuf.
Emmanuel Maurel était l’invité de l’émission « Europe Hebdo » sur Public Sénat, il débattait avec l’ambassadeur hongrois Georges Karolyi de la question des libertés fondamentales en Europe.
Il a rappelé que ces libertés étaient en danger, pas seulement en Hongrie et en Europe de l’est, mais dans toute l’Europe.
J’interroge la Commission européenne concernant l’importation de viandes ovines étiquetées « produits frais » dans la grande distribution. J’explique pourquoi ces viandes venant de Nouvelle-Zélande posent un problème de santé publique.
À l’heure où la lutte contre le covid-19 appelle à une coopération internationale, les sanctions économiques ne doivent empêcher aucun Etat d’accéder au matériel médical nécessaire pour soigner sa population.
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