Voici ma question écrite posée à la Commission européenne :
» L’engagement international pour le développement durable soutenu par l’UE intègre la nécessité d’un traitement viable des dettes souveraines.Le 12 mai dernier, le directeur de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a condamné la mauvaise volonté de l’UE, représentée par la Commission, dans la nouvelle instance de l’ONU dédiée aux dettes souveraines.L’ONU travaille pourtant sur un projet de cadre réglementaire sur les processus de restructuration de la dette souveraine, à l’appui des principes de légitimité, d’impartialité, et de transparence, qui ont fait jusque-là défaut dans notre région du monde, la plus grevée de dettes. La Commission peut-elle justifier son absence de mesures pour établir un lien entre les travaux menés par l’ONU et le traitement des dettes souveraines au sein de l’UE? «