José Manuel Barroso a présenté, aujourd’hui, les recommandations économiques par pays de la Commission européenne. Suite aux élections européennes, José Manuel Barroso a passé un vernis de souplesse sur le logiciel de la Commission européenne. Mais, dans le fond, rien n’a changé : l’austérité et le néolibéralisme restent les piliers idéologiques d’une Commission européenne à bout de souffle.
Salaire minimum, retraite, santé, acquis sociaux, services publics… tout passe à la sulfateuse de la Commission sortante, qui pratique ainsi la politique de la terre brûlée sur laquelle prospèrent les extrêmes.
Avec la nouvelle Commission européenne, le Parlement européen devra donc dessiner une alternative au dogmatisme libéral des réformes structurelles.
Communiqué à retrouver sur le site de la Délégation socialiste française au Parlement européen